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Travail temporaire révélateur des paradoxes de la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE)
Thèse en sciences de gestion et du management présentée et soutenue publiquement par Mme Soumaya Belkasseh sous la direction du Pr. Thierry Côme
le 8 octobre 2024
Mardi 8 octobre 2024 à 14h30
Laboratoire LAREQUOI - UVSQ
Salle des thèses
5-7 boulevard d'Alembert
78280 Guyancourt
Salle des thèses
5-7 boulevard d'Alembert
78280 Guyancourt
Composition du jury
Les entreprises multinationales cherchent constamment à améliorer leur compétitivité sur le marché en optimisant les charges d’exploitation. La masse salariale représente l’un des postes de coûts les plus importants à maîtriser. En effet, certaines entreprises choisissent d’opter pour une gestion flexible des ressources humaines à travers le recours au travail temporaire. Ce choix stratégique présente, certes, un avantage financier mais serait porteur d’enjeux importants aux niveaux économique et social, notamment pour les entreprises qui adoptent une démarche de Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE). En se basant sur une revue de la littérature multidisciplinaire et notre étude empirique, nous souhaiterions apporter des éléments de réponse à la problématique suivante : « Comment l’adoption d’une démarche de la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) serait-elle compatible avec le recours au travail temporaire ? ». Nous adoptons une méthodologie de recherche qualitative basée sur la méthode d’étude de cas multiples, en étudiant un échantillon de quatre entreprises du CAC 40. Ces entreprises sont présentes au Maroc, emploient des intérimaires et adoptent une démarche RSE avec tout ce que cela implique en termes d’engagement social vis-à-vis de l’ensemble des parties prenantes notamment les collaborateurs. A l’issue de ce travail de recherche, une nouvelle démarche flexible socialement responsable est proposée.
- Samuel MERCIER, Professeur des universités, IAE Dijon (Rapporteur)
- Véronique ZARDET, Professeure des universités, IAE Lyon 3 (Rapporteur)
- Gilles ROUET, Professeur des universités, UVSQ - Université Paris-Saclay (Examinateur)
- Bérangere SZOSTAK, Professeure des universités, UVSQ - Université Paris-Saclay (Examinateur)
- Jean-François SATTIN, Professeur des universités, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne (Examinateur)
Les entreprises multinationales cherchent constamment à améliorer leur compétitivité sur le marché en optimisant les charges d’exploitation. La masse salariale représente l’un des postes de coûts les plus importants à maîtriser. En effet, certaines entreprises choisissent d’opter pour une gestion flexible des ressources humaines à travers le recours au travail temporaire. Ce choix stratégique présente, certes, un avantage financier mais serait porteur d’enjeux importants aux niveaux économique et social, notamment pour les entreprises qui adoptent une démarche de Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE). En se basant sur une revue de la littérature multidisciplinaire et notre étude empirique, nous souhaiterions apporter des éléments de réponse à la problématique suivante : « Comment l’adoption d’une démarche de la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) serait-elle compatible avec le recours au travail temporaire ? ». Nous adoptons une méthodologie de recherche qualitative basée sur la méthode d’étude de cas multiples, en étudiant un échantillon de quatre entreprises du CAC 40. Ces entreprises sont présentes au Maroc, emploient des intérimaires et adoptent une démarche RSE avec tout ce que cela implique en termes d’engagement social vis-à-vis de l’ensemble des parties prenantes notamment les collaborateurs. A l’issue de ce travail de recherche, une nouvelle démarche flexible socialement responsable est proposée.