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L’internationalisation dans les écoles supérieures de management françaises

Thèse en sciences de gestion présentée et soutenue publiquement par Madame Aimée Ngalla, sous la direction du Pr. Philippe Hermel

le 21 septembre 2021

le mardi 21 septembre à 14h30
Soutenance publique en ligne via Zoom
 
Composition du jury :
  • Philippe HERMEL, Professeur des Universités, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines - Université Paris-Saclay - Directeur de thèse
  • Boualem ALIOUAT, Professeure des Universités, Université Côte d'Azur - Rapporteur
  • Martine BRASSEUR, Professeure des Universités, Université de Paris - Rapporteure
  • Annie BARTOLI, Professeur des Universités, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines - Université Paris-Saclay - Examinatrice
  • Jacques IGALENS, Professeur émérite des Universités, Université de Toulouse 1 - Examinateur
  • Bachir MAZOUZ, Professeur titulaire à l'École Nationale d'Administration Publique (ENAP), Réseau des universités du Québec - Examinateur
Informations complémentaires

Mots clés : Internationalisation, école supérieure de management, stratégie émergente, effectuation

Résumé :
Cette recherche sur l’internationalisation dans les écoles supérieures de management françaises s’inscrit dans le courant du management stratégique, en interrogeant les phénomènes qui sous-tendent la conception et la mise en oeuvre de la stratégie.

L’approche par l’observation et le décodage des pratiques des acteurs des écoles universitaires et des écoles de management privées, indique que les écoles de milieu de classement en France se développent à l’international suivant un processus émergent, basé sur des phénomènes d’effectuation. L’effectuation qui représente la capacité des acteurs à prendre des décisions en fonction des moyens dont ils disposent, se manifeste différemment selon qu’on est dans une école privée ou dans une école publique, compte tenu des spécificités de chaque environnement.

Cette thèse à la fois descriptive et compréhensive, invite à questionner les idées reçues sur l’opposition entre universités et grandes écoles en France, et met en avant la dichotomie qui peut exister entre discours et pratiques lorsqu’il s’agit d’internationalisation et surtout de conception et de mise en oeuvre de la stratégie.